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J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar

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Salazar I. Serpentard
NOBLE & STAFF ◊ duc

Salazar I. Serpentard
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MessageSujet: J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar EmptyDim 3 Mar - 21:46



Salazar Isidore Serpentard
Citation


ft. JRM - source
Serpentard - Duc

nom Serpentard, du nom de la maison qui règne dans un duché au Pays de Galles. prénom Salazar, prénom inventé par son père et Isidore. surnom Sa grâce comme le veut son titre de Duc. Ses amis l'appellent Sally parfois âge 32 années de vie sur terre  origines Pur Gallois et très fier de ses origines   emblème familial Un serpent qui montre ses crocs, crachant son venin sur un fond vert. rang social Duc de Dyfed, un duché a l'ouest du pays de Galles, relativement grand et très prospère. Seul duc depuis la mort de son père. statut marital Veuf de son épouse depuis plusieurs années, père d'un garçon adoré et adorable. richesse Bien plus riche qu'on ne le pense métier Professeur de potions à Poudlard orientation sexuelle Très très attiré par un des autres fondateurs tradition familiale Les Serpentards sont tous des potionnistes et de fin combattant à la baguette et à l'épée. religion La religion des anciens caractéristique physique Il est relativement fin et bien proportionné, d'un corps qui a été mis à rude épreuve pour être taillé afin d'être agréable aux yeux des autres. Il porte tous les jours autours du cou un médaillon vert magnifique, frappé du blason de sa famille, un serpent qui crache son venin.


patronus Un basilic assez imposant épouvantard Le corps sans vie de son fils, la chair de sa chair animagus S'attirant la honte des siens lorsqu'il n'a pas été capable de se transformer. Il ne peut prendre la forme de son animagus. magie élémentaire Magie de la terre Baguette et/ou épée si vous en avez Sa baguette est en bois de cèdre, le cœur comporte du venin de basilic et elle mesure 25cm16. Son épée elle, qu'il a toujours à la taille, est en en acier et le pommeau est finement taillé, représentant encore une fois un serpent qui s'enroule jusqu'au manche. La lame est claire et taille des deux côtés. Elle s'appelle Féale. capacité magique Même si il n'a pas été capable de devenir animagus, l'honneur des siens a été sauvé lorsqu'ils ce sont rendus compte qu'il était un fourchelang de talent.



Charmant ◊ Brillant ◊ Sarcastique ◊ Intransigeant ◊ Taquin ◊ Tactile avec ceux qu'il aime ◊ Bon orateur ◊ Rusé ◊ Fier ◊ Généreux avec les sujets de son duché ◊ Noble ◊ Provocateur



Quel est votre opinion sur l'intégration des nés moldus et des sangs mêlés à Poudlard ?
Il s'en méfie, car il craint que cela ne fasse baisser le niveau excellent de l'école. Il a peur, en effet, que les autres professeurs s'ajustent aux élèves qui ont des lacunes et donc, aux nés-moldus et aux sang-mêlés. De ce fait les sang-purs se retrouveraient à ne pas réellement apprendre de nouvelle chose ou du moins, ils pourraient s'ennuyer parfois. Et ce n'est pas le but, le niveau de Poudlard est excellent et doit le rester, c'est aux élèves qui arrivent à peine de s'intégrer et de se mettre au niveau.




votre pseudo Musette Votre âge 24 années Comment es-tu arrivé ici ? Par la grande porte Remarques à faire sur le forum ? Aucune Présence sur le forum ? 7/7 jours. Autre chose à ajouter ? votre réponse ici.




Dernière édition par Salazar I. Serpentard le Dim 5 Mai - 1:34, édité 3 fois
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Salazar I. Serpentard
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MessageSujet: Re: J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar EmptyVen 8 Mar - 2:26



    Histoire de dire
    up to the last moment
   
Il faisait froid ce matin là. Les plantes semblaient gelées alors que sur le château, une brume épaisse lui donnait un air mystérieux et inquiétant à la fois. Pourtant ce matin là, le château Serpentard baigne dans une chaleur habituelle. Les serviteurs ont laissés brûler des buches de chène toute la nuit afin de maintenir une douce chaleur dans les pièces habitables. Et la cuisinière prépare un délicieux bouillon de poule qui sera servi au petit déjeuner, avec du fromage et du pain épais et d'un brun sombre. Le petit déjeuner est important dans cette famille, surtout qu l'épouse porte un enfant. Et ce dernier ne va plus tarder à montrer le bout de son nez d'ailleurs. Le père et la mère dorment encore, dans un immense lit en bois foncé, sous des épaisses couvertures en peau d'ours qui leur permettent d'avoir bien chaud même quand les éléments se déchaînent dehors. Sauf qu'en une fraction de seconde, la mère se réveille et se met à gémir d'une douleur qui lui prend le ventre, les hanches et le bas du dos. Aussitôt réveillé, le père se tourne vers son épouse et se rend compte que le lit est trempé d'une substance claire, semblable à de l'eau. Et il comprend si vite, il fait appeler les serviteurs qui arrivent en courant, tenant des bassines d'eau à peine tirée du puits dans le jardin. Le père, à l'aide de la magie fait réchauffer l'eau et le médecin du village, un vieux sorcier ayant des connaissances pointues en magie, ne se fait pas prier pour arriver en quelques minutes. Le travail va durer des heures et des heures mais en début d'après midi, c'est un petit garçon magnifique, aux poumons en bonne santé qui pousse ses premiers hurlements dans le château Serpentard. Il sera baptisé Salazar, d'un prénom original et totalement inventé, car son père trouvait qu'on ne pouvait pas lui donner un prénom appartenant déjà à quelqu'un d'autre. Pour un garçon exceptionnel, le prénom doit être tout aussi exceptionnel.

Salazar vient d'avoir huit ans et ce jour là, sa mère n'est pas bien. Elle pleure beaucoup, son ventre, gonflé la semaine dernière, se résorbe petit à petit. Et il ne comprend pas encore, il ne parvient pas à saisir qu'elle a perdu un bébé. Un petit frère, ce n'est pas la première fois. Elle a eu énormément de mal à l'avoir lui, neuf mois d'une grossesse à risque, elle était si inquiète que le médecin du village est venu vivre chez eux pendant qu'elle était enceinte de lui. Afin de la surveiller et de donner à sa mère des potions pour la fortifier. Mais cette fois-ci tout cela n'a pas fonctionné, le bébé est parti depuis quelques jours et sa mère ne se console pas. Son père lui, est plus fort en apparence. Il lui enseigne la magie avec acharnement, Salazar comprendra plus tard que c'est pour ne pas penser à cet enfant perdu. En contrepartie, le petit garçon va être tellement choyé. D'ici quelques semaines sa mère aura retrouvée son sourire et elle sortira à nouveau avec lui, dans des longues balades dans le jolie parc qui entoure le château Serpentard. Elle chantera pour lui, elle lui lira des histoires qu'il apprécie et elle aussi, lui apprendre la magie. Celle des plantes, des soins et des astres, car sa mère les adore. Fils unique, c'est ainsi qu'on l'appelle. Et adoré, car il est un garçon et il est voué à reprendre un jour le domaine familial. Alors son père lui apprend également, en plus de la magie, à être un bon petit marquis. Il apprend la justice, l'équité et l’empathie, car pour être un bon seigneur il faut aussi savoir se mettre à la place de ses sujets. Il apprend Salazar, il est bon élève quoi qu'un peu rebelle parfois. Ca lui attire des coups de bâton sur les doigts, que son père regrette aussitôt. Mais c'est pour son bien, c'est ce qu'on lui dit, qu'on lui répète à chaque fois que cela se produit. La même année son père décide de lui faire découvrir les autres enfants des grands Ducs des contrés environnantes. Alors, il va rencontrer lors d'une grande soirée donnée en l'honneur des héritiers des Ducs, Helga, Rowena et Godric. Ses futurs amis, dont il ne se séparera jamais. Une famille de cœur, qu'il ne verra pas autant qu'il le voudrait. Mais les lettres lui permettront de rester en contact avec eux, toujours.


Il a douze années de vie Salazar et devant sa famille, devant les siens il doit faire ses preuves. Voila une année qu'on attend de lui qu'il devienne un animagus. Pourtant ce soir là, encore une fois il ne va pas réussir. Et la déception sur le visage de son père sera la pire des choses qui puisse exister à ses yeux. Il ne parvient pas à se concentrer assez pour vider son esprit, pour laisser l'animal prendre possession de son être. Il n'y arrivera jamais, il n'est pas assez calme pour cela, il est beaucoup trop emporté, il a tellement peur de mal faire, de décevoir que cela va lui créer un blocage. Sauf que cet électrochoc, en plus de l’empêcher de devenir animagus jusqu'à la fin de ses jours, va aussi lui permettre de remonter dans l'estime de son père. C'est le lendemain, alors qu'il se promenait dans le parc du château en compagnie du fils d'un des domestiques, qu'il va surprendre un étrange serpent à la sortie de sa tanière, après avoir hiberné tout un hiver. Une simple vipère commune et pourtant ce jour là, il a compris ce qu'elle avait en tête. Elle avait faim et Salazar, pensant que c'était normal de lui répondre, lui a simplement dit qu'elle pourrait trouver des souris non loin de la cuisine. Sauf que ce n'était pas normal, pas commun de parler au serpent. Et lorsque son père a appris cela, informé par le fils de la domestique du prodigieux don que Salazar semblait avoir, la fierté est revenue dans le regard du père Serpentard. C'est aussi cette année là qu'il a passé tout un été avec ses amis, les retrouvant jour après jour pour profiter d'eux, pour s'amuser et pour oublier que Godric allait bientôt partir pour l'île Barra, afin de suivre la coutume de sa famille, à savoir de devenir un dragonnier. C'est aussi cette année là que Salazar a offert son premier baiser, à ce fameux Godric. La veille de son départ. Il l'a embrassé si vite avant de partir dans un éclat de rire et de lui dire qu'après tout, il ne devait pas mourir brûlé par un dragon sans jamais avoir embrassé quelqu'un.

Seize années de vie et déjà Duc d'une région, d'un beau domaine et d'un château comptant plusieurs sorciers sous ses ordres. Ses parents viennent de mourir, tous les deux de la dragoncelle. La maladie est terrible, il n'y a pas de remède et seule les potions apaisent les douleurs des malades. Ils viennent de mourir à quelques heures d'intervale, il est le nouveau Duc de Dyfred, un domaine à l'ouest, grand et prospère. Quoi qu'il a quelques idées en tête pour le rendre plus facile à vivre encore, des idées qu'il va mettre en œuvre bientôt. En attendant il doit faire le deuil de ses parents et assurer la pérennité des siens ainsi, alors que son père venait de le fiancer à une jolie jeune fille, il a accepté le mariage et l'a épousé quelques mois plus tard. Certain ont murmurés que c'était pour oublier la mort de ses parents mais en réalité, c'était pour oublier la présence envahissante de quelqu'un dans son cœur. Godric qui est revenu plusieurs fois de l'île Barra, entre ses entraînements, sa formation, entre la guerre et la prise de risque. Godric qui l'a un jour embrassé aussi lorsqu'il devait avoir quinze ans. Godric qui c'est déshabillé et qui l'a rejoint dans sa couche, qui lui a offert son corps plein de brûlures faites par des dragons. Godric qui est entré dans son corps, qui a pris son cœur et l'a broyé d'une main ferme, pour lui implanter le poison de l'amour. La passion, l'envie de l'avoir toujours pour lui. Mais cela ne se faisait pas, c'était interdit et dangereux, ils risquaient gros. Alors lorsque Salazar a perdu les siens, sa folie adolescente a pris fin et c'est les bras de sa nouvelle épouse qu'il a rejoint. Un peu à contre-coeur, elle était gentille et bien élevée mais... Ce n'était pas Godric.

Dix-huit ans et déjà père. Dans ses bras il tient un tout petit être enroulé dans une couverture de peau de bête, bien chaude et épaisse pour le protéger du vent. Un sort de magie le maintient au chaud, constamment. Sa santé n'est pas fragile, mais il fait humide et cet enfant est si précieux, qu'il ne doit pas trépasser. Devant lui se tient une tombe faites de terre brune, noire comme les cheveux de l'enfant dans ses bras. Sa femme elle, n'a pas supportée l'accouchement. D'une santé plutôt faible depuis leur mariage, l'accouchement de leur fils a été l'élément déclencheur d'une fièvre très forte et très violente, elle n'a survécu que trois jours avant de lui adresser ses derniers mots. De prendre soin de leur fils, une promesse qu'il tiendra jusqu'à la fin. Ce jour là, ses amis sont venus. Tous. Et l'un après l'autre ils ont pris son fils dans les bras, l'ont adoré et l'ont choyé comme si cette enfant était le leur. Salazar c'est pris à sourire, pour la première fois depuis quelques temps. Il a souri en même temps que son enfant, lorsque ce dernier a offert une bouille amusée à un Godric faisant le pitre pour le faire rire.

Ils ont tous les quatre plus ou moins le même âge et ils se tiennent devant une immense bâtisse en ruine, faites de pierres et de bois. Les quatre meilleurs sorciers de leur temps, ayant tous des compétences et des connaissances précises et diverses, dans des sujets aussi surprenant qu'essentiels. Ils ont une idée commune, celle de permettre à tous les sorciers de bénéficier du même enseignement, des même chances. Une idée qui a germée dans leur esprit, qui a fini par se faire une place et maintenant, qui prend vie sous leurs yeux. Il faudra du temps, de la patience et du travail avant qu'ils ne parviennent à construire quelque chose avec ce château qui allait définitivement s’effondrer. Mais ils ont réussis et cette année là, c'est une école pour sorciers et magiciens qui ouvre ses portes, accueillant des enfants issus des plus grandes familles du pays. En Ecosse évidemment, car ils ont tirés à la courte paille et c'est le pays de Rowena qui a gagné, alors c'est chez elle que le château a pris vie.

Il a vingt-cinq années et pour la première fois depuis des années, il va céder à une pulsion primaire. Son corps se serre contre celui de l'homme en face. Il touche sa peau avec violence, il palpe, embrasse et mord, il grogne d'envie, de frustration, de ce besoin animal de se sentir en vie entre les bras de cette personne qui le rend fou. Il veut vivre, il veut se sentir vivant et pour cela, c'est lui qu'il lui faut. Il en a besoin, au plus profond de lui, de ses entrailles il le ressent, ce besoin qui brûle son corps, qui monte dans sa tête et qui lui donne l'impression de ressentir tout avec plus de force, de précision, de puissance. Godric va s'enfuir à tout moment, il peut disparaître en une fraction de seconde et pour ça, Salazar évite de le lâcher. Il a ses mains partout et nulle part à la fois, comme si le simple fait de le toucher lui brûlait les doigts. C'est le cas, mais c'est trop bon pour ne pas en profiter. Pendant une seconde il se recule, il le regarde. Il hésite, il devrait arrêter. Tout cesser, lui dire de rentrer chez lui. Il devrait, mais Salazar ne sait pas être raisonnable. Il laisse tomber ses barrières et vient écraser sa bouche contre celle de Godric, pour faire taire ses doutes, ses craintes, ses questions.

« Tout va bien ? » La voix de Godric le sort de ses pensées alors qu'il sursaute. Devant lui, une classe de potions vide. Ses élèves ont quittés son cours lorsque l'heure a sonnée, il ne s'en est même pas rendu compte. Sa classe se trouve dans les cachots, non loin de la salle commune des Serpentards. Lorsque les autres fondateurs ont su qu'il voulait emménager la salle commune dans les cachots ils ce sont moqués, sans se douter que Salazar avait des goûts magnifiques en décoration. La salle abrite maintenant une immense vitre qui donne en plein sur le lac, dont la couleur verte avec les rayons du soleil illumine la salle commune. C'est très beau, très fin et aucun élève n'a jamais trouvé à y redire. Voila dix ans que l'école existe et c'est un succès, ils attirent des étudiants du monde entier et ils ont été obligés, l'année dernière d'agrandir les dortoirs. « Oui, je pensais. » Godric lui offre un sourire. « Tu pensais à quoi ? » Salazar range ses affaires en lui rendant son sourire, tout en ayant un air mystérieux sur le visage. « A rien qui ne te concerne, Gryffondor. » Ce dernier affiche un sourire plus grand avant de sortir de la pièce, accompagné du professeur de potions. « Allez on doit aller dîner. Helga nous a fait une nouvelle recette, une tarte à la mélasse je crois. » Salazar grimace, il n'a jamais aimé la mélasse.

   


   
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Godric Gryffondor
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MessageSujet: Re: J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar EmptyDim 5 Mai - 1:11

Tu es validé !
Et tu rejoins la communauté !


Bienvenue sur Founder's Era !
J'ai juste à dire ceci : t'es beau, faisons des enfants J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar 3793122523 J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar 3793122523 J'aime cette fiche, j'aime ton Salazar, et j'aime qu'on fasse des étincelles ensemble. Tu es dés à présent le premier personnage validé de FE - félicitations amour J'ai connu la rancœur bien avant d'être apaisé. - Salazar 2185608563


A présent que tu fais parti de notre communauté, tu peux t'assurer avoir bien été ajouté au bottin des avatars , tu peux demander un rang personnalisé , tu peux faire ajouter ta famille de sang pur à la liste des duchés. Nous te proposons ensuite d'ouvrir ta fiche de liens et de passer sur celle des autres, avant de te lancer en rp et d'ouvrir ton journal de rp que tu peux tenir à jour à mesure du jeu. Enfin, tu peux à ton tour proposer des pré-liens , des personnages vacants ou ta famille . N'hésitez pas à nous rejoindre en chatbox , à flooder, ou à te lancer en rp tout de suite ! Bon jeu sur FE ! :uh:
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