Les Vikings avaient été repérés dans la matinée, une lettre arrivant par hiboux à Poudlard. Godric était déjà levé, son épée dans son fourreau, et sa tenue militaire couvrant son corps - Cyna, le Noir des Hébrides, se tenait à côté de lui, sondant la foule d'étudiant avec un oeil sombre. Des quelques mots qu'il avait reçu du roi, il saisissait que la situation était dangereuse. Les envahisseurs avaient été repérés dans les terres déjà, montant des dragons ou des chevaux ailés - bien que Godric doutait qu'ils soient aussi rapides et entrainés que les dragonniers de sa Majesté.  
L'ennemi était trop proche, il ne lui faudrait pas plus de deux jours pour atteindre Poudlard, et il ne pouvait pas prendre ce risque. Des éclaireurs, ou des criminels, venus mettre à sac quelques villages et emporter des richesses - sans doute - et de ces sauvages il n'en ferait pas moins que des souvenirs pour le Dieu de la mort.

Il prépara quelques parchemins, envoya les hiboux aux quatre coins du royaume afin de prévenir les Dragonniers qu'il savait n'être pas loin, les conviant à le rejoindre dans le duché de Fife - à quelques envolés de là - où leurs ennemis se trouvaient sans doute déjà. Il n'attendit pas de voir les oiseaux disparaitre pour monter sur le dos de la dragonne, la laissant hurler avant de disparaitre dans les cieux. Il bandait ses muscles, son corps serré contre celui de la bête, épousant parfaitement le moindre de ses mouvements - ils ne faisaient qu'un, habitués l'un à l'autre, à se battre ensemble, à voler ensemble, à vivre ensemble. Leurs regards suivaient les mêmes directions, et leurs souffles le même rythme. Il souriait, sentant le courage circuler dans ses veines à vive allure.
Le ciel était encore sombre lorsqu'il arriva non loin d'un village sorcier, les hautes murailles protégés par quelques sorciers en armures - et le silence se faisant trop inquiétant pour qu'il ne dure. Ils étaient là. Le Dragon s'arrêta sur une falaise, assez haute pour qu'il observe la scène, et puisse voir leurs ennemis. Assez larges pour que plusieurs dragons puissent s'y poser - il attendit, et s'il était imprudent il ne mettrait pas la vie de Cyna en danger en se lançant seul dans la mêlé - d'autant que ses ennemis n'étaient pas encore à découvert.

Il n'eut cependant pas à attendre longtemps avant d'être rejoint par d'autres. « Nos ennemis sont là - aucun survivant n'est exigé, bien qu'un prisonnier pourrait nous être utile pour renvoyer un message de terreur. Des questions ? »

Fonctionnement Tous les Dragonniers sont invités à participer à la mêlée. Vous pouvez utiliser les dés : oui/non pour savoir si vous touchez votre ennemi. Intensité pour savoir si le feu du dragon les anéanti ou pas, par exemple.

Vhagar glandait dans son lit aujourd'hui, pourtant il allait devoir se lever, il avait cours mine de rien. Il frotte son petit nez contre son oreiller en grognant de fatigue. Il finit par tirer la couette et se lever lorsqu'un hibou entre dans le dortoir à toute vitesse et se posant sur le lit de Vhagar. Le Serpentard fronce les sourcils et attrape l'enveloppe sortant la lettre de cette dernière et la lit. Merde. Une mission. Maintenant ? Il fixe ses mains et sent l'angoisse monter. Il ne contrôle pas la magie du feu, c'est ce qui l'angoisse. Pourtant, il ne rechigne pas aux ordres et se précipite sur ses habits et sur son armure qu'il enfile à toute vitesse, il laisse la lettre sur son lit, se disant que Jaqen la donnerait au prof de la journée et que ça l'excuserait pour les cours.

Il sort du château et siffle avec ses doigts. Un dragon vert passe au dessus du château, il ne s'attend pas à voir le dragon de Gryffondor passait au dessus du château, il était surement déjà parti depuis quelques minutes. Selenia se pose et Vhagar court vers elle.

On a une mission, ma belle, t'es prête ?

La dragonne hoche la tête et abaisse une aile pour que Vhagar puisse prend place sur son dos. Il s'accroche au épis de son cou, elle le regarde en coin et il hoche la tête, elle décolle avec une puissance égale aux gallois verts. Il sourit, ne se sentant jamais aussi que dans les airs, sur le dos de sa dragonne. Sur le chemin, c'est à Selenia qu'il parle, il le fait souvent, quand il a des craintes ou quand il en a envie, et là, c'était pour communiquer d'une crainte.

Tu crois que ça peut créer des problèmes si mon pouvoir surgit sans que je lui demande ?

Un grondement inquiet sort de la gorge de la dragonne, Vhagar grimace en haussant les épaules.

Je tâcherai de faire attention, et toi, tâche de nous garder en vie.

Elle acquiesce alors que le duché de Fife se montre en dessous des nuages. Vhagar montre du doigt où se trouve Gryffondor et sa dragonne, ainsi que les autres dragonniers arrivés entre temps, il était surement le dernier, mais que voulez vous…. Il était endormi, comptant presque arrivé en retard en cours à la base. C'était un imprévu ce qu'ils se passaient actuellement.
Il écoute les ordres de Gryffondor, ce qui l'agace, mais bon, il n'a pas le choix que d'obéir, il attend encore un peu au cas où il y a des questions, mais lui n'en pose pas. Il caresse Selenia qui le regarde du coin de l'œil. Il hoche la tête et la dragonne pivote, prête à s'envoler, attendant juste l'ordre de Vhagar qui lui attend l'ordre de Gryffondor. Du moins, c'était ce qu'il comptait faire, mais une boule de feu s'échappe de ses mains et atterris juste devant la troupe ennemie, les dévoilant.

Oh...

Nocturne fendit l'air et arrêta son chemin droit dans le cœur factice du mannequin d'entraînement. D'une torsion de la lame, Gwynevere fit sauter la tête de l'objet qui roula piteusement au sol. Elle poussa un léger soupir. Il fallait des mannequins plus solide, en fer par exemple. Ceci dit le temps n'était pas à la mise en œuvre de nouveau outils pour l'entraînement. Le regard sombre de la jeune femme accroche la silhouette empressé d'une petite servante. Jupe retrousser, cheveux emmêlé par le vent, une petite missive à la main. « - Dame Gwyn, Dame Gwyn... » lance-t-elle essoufflé en arrivant à sa hauteur « - Ceci vient d'arriver de Poudlard pour vous Ma Dame. » La lettre est décacheté, nulle doute que son père l'a lu avant de lui envoyer la servante et vu l'empressement de la lui transmettre, c'est de toute urgence. « - Merci, Brisène. » Le contenue fut rapidement expédier. Une attaque de Viking. Avec Uther elle pouvait être sur le point de rendez-vous en moins d'une heure. « - Prévenez mon père que je pars défendre nos côtes. » La petite servante s'inclina et repartit en courant.

Gwynevere n'avait guère le temps de monter à sa chambre pour enfiler son armure complète et ensuite armuré Uther. Les protections de cuir qu'elle utilisait pour l'entraînement devrait faire l'affaire, il était hors de question que son dragon parte sans protections. Vive, la jeune dame partie à toute vitesse vers la tour des dragons que sa grand-mère avait battirent. A son sommet, la massive silhouette d'Uther se reposait. Ses écaille d'un noir profond luisant à la lumière des flambeaux. Il accueillit sa compagne dans un nuage de fumé et un grognement profond auquel elle répondit par sa voix la plus apaisante : « - Là, là mon grand. On a besoin de nous pour défendre le royaume. » Elle détacha avec application les quelques plaques d'armures qui servait à protéger le poitrail de son dragon avant d'actionner un système de poulie qui ouvrit une vaste fenêtre. Prestement, elle grimpa sur le dos de l'immense reptile cracheur de feu : « - Tiugainn Còmhla ! »

Comme si il n'attendait que ce signal, l'animal s'approcha du rebord et plongea dans le vide. Au dernier moment il déploya ses immense ailes et, d'un puissant battement prit de l’altitude, balayant au passage la court d'un souffle puissant. Alors que le vend venait se mêler à ses cheveux, Gwynevere laissa échapper un crie de joie. Le dragon y répondit par un rugissement puissant qui se répercuta dans les highland. En moins d'une heure elle était arrivé non-loin du point de rendez-vous. Trois autres dragonniers étaient déjà présent et, à son grand soulagement, les trois chevauchaient des dragonnes. Au moins l'esprit dominateur d'Uther ne serait-il pas solliciter. Gryffondor, Andas et Rosier, un jeune encore en formation. « - Nos ennemis sont là - aucun survivant n'est exigé, bien qu'un prisonnier pourrait nous être utile pour renvoyer un message de terreur. Des questions ?  » Elle en avait plein des questions... malheureusement elle n'était guère à l'ordre du jour puisque une maladresse du jeune Rosier venait de dévoiler leur position. « - Oh » Andas s'éleva, observant probablement les lieux, ne restait plus qu'eux.

« - Une maladresse arrive à tous. Nous n'avons plus l'avantage de la surprise, il va falloir réussir à les occuper sur plusieurs front et ne pas toucher le village. » Uther n'était pas le plus rapide mais il était les mieux amurer des quatre dragons présent. « - Je peux faire diversion, Seigneur Godric... Il faudrait que quelqu'un s'occupe de leur couper toute retraite. Leur dragons sont redoutable mais leur chevaux ailés des cibles faciles. Je suggère que le jeune Rosier s'en occupe. Pendant que nous essayons d'attirer l'attention de leurs propres dragons. » Comme si il sentait les prémices du combat, Uther se redressa légèrement, gonflant sa poitrine. Une lueur sanguinaire brillait dans les yeux du dragon. Une soif de carnage que seul Gwyn arrivait à maîtriser. Alors qu'elle montait sur son dos, attendant que le Duc confirme ou non son plan d'action, il commença à déployer lentement ses ailes, prêt à prendre son envole, prêt à tuer.

Il se trouvait des évidences avec lesquelles il vivait depuis longtemps, et qui lui sauvaient la vie. Surprendre son ennemi c'était avoir l'avantage. Un Noir des Hébrides est aussi sournois qu'il est rapide. Une âme enflammée est dangereuse aussi bien pour son camp que pour l'adversaire. Le voila qui observait les dragons l'entourer, les autres dragonniers venir lui porter main forte et le saluer avec tout le respect qui était dû à son rang - il répondait avec un hochement de tête, observant les silhouettes qui se déplacer dans l'ombre du matin. Le village s'éveillait à peine, et il espérait pouvoir ne compter aucune victime cette fois-ci. Les morts se tenaient encore au porte de sa raison, il n'avait nullement l'intention de sombrer dans la folie aujourd'hui.
Voila cependant que d'une boule de feu, ils perdaient l'avantage de la surprise, son regard mordoré s'agaçant de la présence de Vhagar. « Oh » « Je n'aurais pas mieux dit. » siffla-t-il en constant que les visages et les lances se tournaient déjà dans leur direction - bien qu'il ne s'en trouvait aucune pour traverser les écailles de leurs dragons - tous adultes fort heureusement. Cependant il s'en trouvait en face qui montait des Norvégiens à crête, les créatures gueulant dans la direction de leurs désormais ennemis.

« - Je peux faire diversion, Seigneur Godric... Il faudrait que quelqu'un s'occupe de leur couper toute retraite. Leur dragons sont redoutable mais leur chevaux ailés des cibles faciles. Je suggère que le jeune Rosier s'en occupe. Pendant que nous essayons d'attirer l'attention de leurs propres dragons. » Il opina, se tournant également vers Henri en jugeant son Dragon. Il le connaissait depuis longtemps, l'ayant eut sous sa tutelle pour lui enseigner le maniement des armes. Mais Henri était encore jeune - ayant à peine terminé sa formation, Godric doutait qu'il soit assez fort pour tenir une attaque seul. « Attaquons à deux pour commencer. Andas, vous suivrez Lady Peverell et ferez en sorte de séparer leurs dragonniers. Les Norvégiens à crête sont des créatures susceptibles et lunatiques, avoir un mâle ne peut que les rendre moins dociles. » Admit-il en se tournant vers la dragonnière, reconnaissant le portrait que nombre de ses étudiants et de ses collègues lui avaient dépeint. Sans compter les mots d'Octavia qui résonnaient toujours en lui avec une crédibilité que peu pouvaient se targuer de posséder. « Rosier, nos dragons sont plus rapides. Nous n'avons plus qu'à exterminer leurs cavaliers. Nul besoin de faire dans la finesse - ce qui devrait être aisé pour vous. »  Et nul besoin d'attendre plus, les ordres donnés, d'un claquement de langue il fit réagir Cyna qui lâcha un grondement avant de déployer ses grandes ailes noires, et de plonger sur leurs ennemis. « Flambio. » souffla-t-il à son oreille, avant de sentir son souffle ralentir pour laisser place aux flammes mortelles.

(intensité :
1 à 3 : le feu fait fuir les ennemis
4 à 6 : le feu écharpe les chevaux en faisant tomber les cavaliers
7 à 9 : le feu attaque les chairs des chevaux et touchent les cavaliers
10 : le feu éradique les cavaliers)

Gwynevere semblait le réconforter au départ. Une erreur ça arrive à tout le monde, patati patata... S'il contrôlait pas encore sa magie du feu, c'est peut-être la faute de Godric qui est un mauvais entraîneur aussi, allez savoir. Il était désolée, Vhagar venait de foutre en l'air l'avantage, et s'il y en a qui pense qu'il a fait exprès, ils se trompent, il ne contrôle vraiment rien, il ne l'a même pas senti se former, c'est peu dire. Vhegar observait les vikings pointés leur lance vers eux. C'était vraiment fichu, bon après, Gwynevere propose un plan. Le jeune dragonnier l'écoutait en fronçant les sourcils, il s'apprêtait à râler pour lui donner une tâche aussi facile... Il veut être dans la cours des grands lui aussi !

Puis, au final Godric conclus sur quelques choses de plus... ça agace Vhagar de l'avouer, mais de plus logique. Ils allaient devoir chasser du cheval volant puisqu'ils les dragons les plus rapides. Vhagar lance un regard à Selenia et elle lui retourne le regard, ils étaient prêt à assurer cette mission, en évitant le max d'imprévu. Vhagar est passé outre la pique de son entraîneur.

« Quand tu veux ma belle. »

Selenia tape d'une patte avant et se propulse dans l'air dans un battement d'aile puissant. Vhagar retrouve le sourire, il est vraiment dans son élément. Il guide sa dragonne jusqu'au chevaux volants, elle s'y glisse avec grâce et aisance. Une fois qu'ils sont a porté de feu, Vhagar sourit en coin, pas qu'il aime tuer, mais parce qu'il défend ses terres sur le dos de sa dragonne et il n'y a rien de plus réjouissant que ça.

« Fire. »

Ouvrant la gueule, laissant échappé toutes un jets de flamme de sa gueule, Selenia prend également un malin plaisir à attaquer ces proies, sans doute qu'elle dévorera les chairs restantes par la suite.

Uther frémis, on pourrait presque avoir l'impression que le magyar souriait à l'idée du combat qui s'annoncait. « - Compris, je vous soutiens Lady! » Gwynevere ne peut s'empêcher d'adresser un sourire au jeune Andas. Sa dragonne est une des rare que Uther supporte. Pour cause, les deux sont de la même mère. Doucement elle se penche sur son dragon, murmure à son oreille : « - Thoir dhìot » Décolle. Uther à l'habitude du Gaélique. Presque plus que de l'anglais. L'imposant reptile s'arrache aux sols et en quelques seconde rejoins sa sœur dans les airs. « - Pensez-vous que nous pouvons tenter de les mener vers la mer ? Si les jets de flammes ratent au moins nous avons une chance de toucher les bateaux et de les éloigner de leur cible ! Fafnir !   » La jeune femme n'eut guère le temps de répondre que déjà un des dragons ennemis les séparait par un jet de flamme. Uther gronda, tonna. Il voulait en découdre avec l'animal. « - C'est une bonne idée! » cria Gwynevere pour couvrir le bruit de la bataille.

Fafnir répondit au dragon de l'envahisseur par un brasier. Blessant suffisamment grièvement ce dernier pour le déstabiliser. C'était à elle de jouer. Si il fallait attirer les dragons, il fallait être vu. Gwynevere tira Nocturne de son fourreau et murmura un sort. La lame s'embrasa offrant à ses adversaires un point lumineux à suivre. Il ne fallut pas longtemps pour qu'un bruit d'aile lourd se fasse entendre. Un énorme mâle faisait face au duo. Il n'y a pas besoin d'ordre. Uther fit ce qu'il savait faire de mieux en présence d'un autre dragon. Il gonfla son abdomen et cracha une gerbe de flamme d'un rouge intense. Profitant de la diversion offerte par son compagnon, Gwynevere rangea son épée, ferma les yeux et prit l'apparence d'un faucon. Peut importait qu'Uther est ou non réussit à endommager le dragon, ce qui comptait c'était qu'elle puisse agir rapidement. Lorsque les flammes se dissipèrent, l'oiseau rapide plongeait en piqué vers le viking, toute serre en avant, visant les yeux du dragonnier ennemi.

Autour de lui des chevaux enflammés hurlaient aussi horriblement que leurs cavaliers, Cyna volant autour d'eux avec un grondement triomphal - le Noir des Hébrides est connu pour être territorial, et assurément, elle prenait mal de voir des envahisseurs sur les terres qu'elle considérait les siennes. Il sentait le battement acharné de son palpitant, le désire de voir le sang versé, alors que qu'il tira son épée Flamboyante de son fourreau en voyant d'autres cavaliers ailés lui venir dessus. C'était sans compté sur son compagnon d'infortune, et sur sa droite, il osa un regard vers Vaghar sur sa dragonne aux écailles émeraudes. Lui - et le viking qui avait l'audace de trouver refuge sur la queue du dragon. « Vhagar, derrière toi ! » Hurla-t-il dans l'air, espérant se faire entendre, avant qu'un sortilège s'échappe de ses doigts pour venir frapper l'air au-dessus de la tête de l'envahisseur.
La magie battait dans ses veines - oubliant rapidement qu'il portait sa baguette, comme elle était plus aisément un objet de décors qu'un outil de combat. Il sentait les flammes magiques s'échappaient de ses doigts, ses mains chauffées de lueurs vertes et rouges.

« Ils sont des dizaines. Cyna - aucune raison de se contenir me semble-t-il. Flambio. » Lança-t-il finalement, se laissant tomber sur le dos de la dragonne pour partager le moindre de ses mouvements et fondre sur les rangs des cavaliers - la tête dans le danger sans se soucier des représailles, levant son épée pour ceux qui échapperaient au feu du Dragon.

oui : traversant les rangs ennemis, Cyna en enflamme assez pour atteindre le presque-sol où se trouvent les chefs de cette armée de sauvages - c'est l'heure du duel !
non : les chevaux sont trop nombreux, les vikings montent sur le dos de la dragonne et la déséquilibre du fait de son ancienne blessure, elle se voit contrainte de retrouver le sol.

(intensité :
1 à 3 : le feu fait fuir les ennemis
4 à 6 : le feu écharpe les chevaux en faisant tomber les cavaliers
7 à 9 : le feu attaque les chairs des chevaux et touchent les cavaliers
10 : le feu éradique les cavaliers)

édit : fuck the world, trop de malchance aux dès

Tu es affecté à la surveillance d'un château qui est menacé par les saxons, quand tu reçois un hibou. La bête est assoiffée, affamée alors tu la fais s'installer dans la volière et tu lui donnes à boire, de quoi manger avant d'aller lire ta lettre. Elle est importante, frappée d'un blason portant les armoiries de la famille royale et aussitôt tu comprends que c'est grave. Le message est clair, précis. Les dragonniers ont été appelé afin de défendre les côtes du pays mais surtout, les environs du château de Poudlard qui est menacé par des vikings. Et apparemment le nombre est plus important que prévu, ainsi c'est tes hommes qu'on réquisitionne et tu sent déjà l'adrénaline monter dans tes veines, quand tu fermes ta lettre et que tu fais brûler d'un sort informulé. Personne ne doit lire ta correspondance, alors tu prends toujours soin de la détruire à chaque fois. Tu quittes la volière, rejoignant tes hommes qui s'entraînent au combat et qui se tendent en voyant ton visage fermé. « Les dragonniers ont besoin de nous. Des vikings ont été vus proches de Poudlard, nous devons aller leur prêter main forte. » Tu te tournes vers deux de tes hommes, qui commandent chacun 20 nécromanciens et tu leur fais signe. Ils comprennent et aussitôt se mettent en marche, afin d'aller rassembler leurs hommes. Toi, tu pars enfiler ta tenue et il ne te faut que quelques minutes avant d'être sur ton sombral, lui caressant doucement la crinière pour l'apaiser. Il sait que vous partez au combat, il a hâte et il trépigne mais il ne s'envolera pas tant que tu ne lui en donneras pas l'ordre.

Lorsque tes hommes te rejoignent tu lui jettes un regard en coin. « Cap vers le nord. Nous devrions arriver d'ici un quart d'heure... Pas de quartier ! » Dis-tu en criant pour passer outre le vent qui fouette vos visages puis, d'un coup de main sur la crinière de ton sombral et voilà que vous percez le ciel pour vous diriger vers vos cibles.

La route se fait rapidement et au moment où vous traversez les nuages pour piquer droit sur la zone de combat, tu attrapes ton arc et tu viens doucement remonter sur ton sombral pour te maintenir debout, bien droit. Pour ceux qui ne sont pas habitués c'est un sport compliqué mais avec tes années d'entrainement, ton équilibre est parfait à présent. Derrière toi tes hommes pour des hurlements, ils ont hâte de se mêler au combat. Ce n'est pas réellement la guerre pour vous, c'est comme un jeux. Un sport même, c'est un peu à celui qui fera le plus de victime. Ton sombral remonte un peu, passe sous un dragon allié avant de se retrouver nez à nez avec un viking qui chevauche une créature bien plus modeste que vos immenses dragons. Tu es dans ton élément, tu sent l'adrénaline te faire sourire sous ton casque sombre, tout comme le reste de ta tenue et sans attendre, tu décoches une première flèche magique qui vient immobiliser le viking en question, le frappant en pleine poitrine. Il tombe de son dragon avant de s'écraser plusieurs mètres plus bas, tué sur le coup.

Le poids de l'ennemi sur ta dragonne a fait dévier Selenia de son objectif et rate ses cibles. Sous les cris de ton mentor qui te dis de regarder derrière toi, tu te décide enfin à l'écouter, alors que ta dragonne tentait de reprendre de l'altitude et de stabiliser tout ça. L'ennemi grimpait jusqu'à toi. Selenia tentait le maximum pour qu'il la lâche, des looping, qui t'oblige à t'accrocher sérieusement. Tu manque toi-même de tomber plusieurs fois. Tu te décide à lui donner l'ordre de se calmer et de planer droit.

« Arrête, je vais tomber, calme toi, je gère ! »

Elle décide te faire confiance. Tu regarde tes mains et tu en pointe une vers l'ennemi s'approchant sérieusement de toi. Tu te concentre pour que ta main propulse une boule de feu, mais seulement des étincelles en sortent au premier abord. La seconde fois, c'est pareil. Puis, il est trop près de toi, tu te lève et dégaine ta massue contrant de justesse l'attaque de l'ennemi. Cependant, il est meilleur que toi, problème d'expérience, ta massue tombe. Tes mains chauffent, tu le sens, t'angoisse, c'est comme ça que que ta magie du feu répond. Tu les plaques activement sur le visage de l'ennemi, lui piquant ensuite son épée, le transperçant dans un coup sec et le balançant par dessus les ailes de ta dragonne. Tu te rassois, reprenant ton souffle et grimace.

« Allez ma belle, on reprend la mission. »

La dragonne vire à droite rejoignant Godric pour s'occuper des cavaliers. Sauf que les cavaliers ont fait à plusieurs ce que celui qu'est mort a fait à toi. Tu fronce les sourcils.

« Plus vite ma belle. »

Tu sors ta baguette alors que Selenia se pose sur le sol et repars une fois que tu es descendu.

« Accio ! »

Ta masse arrive directement dans ta main frôlant, tu arrive en courant et chope des vikings par derrière leur éclatant ta masse sur eux. Un duel au coté de ton mentor est entamé, si on t'avait dit que tu courrais au secours de Gryffondor, tu ne l'aurais pas cru.

Il fit face aux vikings, levant son épée, sans rien voir de ce qu'il se trouvait autour de lui, son coeur battant de l'inquiétude de voir Cyna blessée à nouveau par sa faute. De sa hardiesse il ne ressortirait rien de bon - sans doute - mais il ne tuerait pas sa dragonne. Cette dernière se trouvant dans les airs de nouveau, alors qu'elle tentait de se défaire des sorciers qu'elle avait emporté, hurlant de rage de se voir ainsi malmenée. Inutile pour Godric de penser à l'aider alors que devant lui se tenaient plusieurs sauvages. Et soudainement Vhagar à ses côtés. « Fort et courage. » Dit-il en se tournant vers lui, opinant avant de se jeter dans la mêlé, bien rejoint de quelques nécromanciens qui fondirent dans la foule avec la beauté noire, et inquiétante qui leur appartenait.
C'était d'une beauté rare, mais Godric ne s'en laissa pas fasciné, levant son épée pour croiser le fer avec ses ennemis - la magie sortant de la lame pour l'enflammer de sortilège, l'envie de les détruire irradiant littéralement pour jeter quelques sorts verts et bleus dans leurs directions. « Je ne veux aucun survivant ! » Dit-il à l'attention de ceux qui l'entouraient, hurlant de rage avant de viser quelqu'uns d'entre eux du bout de sa lame.

(oui : le sortilège de Godric pétrifie plusieurs soldats et lui permet de s'avancer vers les chefs
non : ils sont trop nombreux, le sortilège les touche à peine, et Godric continue le combat comme il peut )

eux : 14
nous :15